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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 18:00

Publié sur le site MilEtUne d'après la photo suivante

 

 

  cloches

 

 

De toutes les fées qui se sont penchées sur mon berceau, celle qui m'y balança un peu trop près du mur devait être la fée clochette, car j'ai toujours eu dans le crâne une espèce de bruit de sonnailles, de tintement très désagréable et que certains appellent acouphènes pour faire riche!

En tout cas je me suis fait sonner les cloches pendant bien des années pour pouvoir devenir le battant que je suis aujourd'hui.

Je me souviendrai toujours d'une phrase d'un prof qui - lorsqu'on se levait avant la fin du cours - disait d'un ton solennel : “Il n'y a qu'une cloche ici, c'est moi!”... et c'était vrai.

 

A force de résonner j'ai acquis une conviction en même temps que de solides notions d'orthographe: Au royaume des sons, le roi est celui qui n'a pas de cédille!

De tous temps l'homme a toujours frétillé devant la chute d'airain et je ne suis pas en reste quand une Charlotte (Notre-Dame de Reims) ou une Marie-Joséphine (Notre-Dame de la Garde à Marseille) se met en branle et commence à tintinnabuler sous mes yeux.

Je laisse aux Don Juan et aux polygames les carillons et autres campaniles car je suis de ceux qui ne courent qu'une cloche à la fois si je peux me permettre.

Si je ne suis pas du matin, je ne déteste pas pour autant un petit coup de grelot... ça ne mange pas de pain et ça met en joie.

 

Je suis tombé un jour sur - ou plutôt sous - une Savoyarde de près de dix huit tonnes, un tour de taille de 9.60 mètres à filer le bourdon aux plus courageux, c'est pourquoi je me suis carapaté en douce - certains diront à la cloche de bois - avant d'entendre sonner ma dernière heure!

Depuis il me semble que j'ai quelque chose qui cloche, comme une ébréchure...

Paraitrait que je suis devenu marteau, alors j'ai arrêté mes sonneries mais je ne sais pourquoi tous les soirs mes acouphènes sonnent le glas?

 

 

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 13:00

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré des Exercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.


Pas sûr que j'écrive tous les jours d'Octobre... et guère plus sûr que vous me lisiez tous les jours!



 

Aujourd'hui perte de signal... j'ai eu beau secouer l'éphéméride dans tous les sens, aujourd'hui Septembre ne répond plus.

Parait qu'on ne le reverra pas avant deux mille quatorze!

Rentré le salon de jardin, plié la voile d'ombrage.

Rafistolé le panier à champignons.

Penser à rentrer le citronnier.

Va falloir s'habituer à Octobre, à sa grisaille et ses frimas.

“Gelée d'octobre rend le vigneron sobre”.

Qu'est-ce qu'il faut pas entendre!

C'est pas demain la veille qu'un vieux dicton m'empêchera de faire chabrot.

Faut pas que je m'habitue trop non plus, dans trente jours ça sera une autre paire de manches... fourrées!

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 18:00

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré desExercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.

Pas sûr que j'écrive tous les jours... et de toute manière, pas sûr que vous me lisiez tous les jours!





 

Aujourd'hui un amical coucou à mes lecteurs fidèles ou occasionnels.

Avant les 100 mots fatidiques, j'adresse mes gesticulations du jour:

un amical pied de nez à ceux qui espéraient un scoop.

un amical bras d'honneur aux emmerdeurs de tous poils... les prédicateurs de météo pourrie, les gaveurs de boîte aux lettres, les spameurs de boîte mail, les assureurs, les vendeurs de cuisines.

un amical poing levé à ceux qui luttent contre la maladie et les injustices.

 un amical salut aux “Jérome” qui n'ont pas choisi leur prénom

 un amical shake hand aux expatriés et surtout aux “Français de Las Vegas

 

 

 

 

 

 

 

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 09:18

Publié aux Impromptus Littéraires sur le thème de l'ignorance.

Roland Barthes aimait à revendiquer le droit à l'ignorance tandis que Rabelais disait L'ignorance est mère de tous les maux... à chacun son point de vue 

 

 

 

Je ne veux rien savoir d'où tu sors, d'où tu viens

ni pourquoi tes grands yeux me regardent ainsi.

Je ne veux rien connaître de ceux, de celles-ci

qui t'attirent si loin. Il suffit, ne dis rien.

 

Je veux tout ignorer de ces frasques nocturnes

qui te ramènent mort, poisseux, ébouriffé.

Pas la moindre question, le moindre autodafé

quand repu de plaisir tu regagnes ta turne.

 

Qu'on ne me dise pas: “Ainsi va la nature

on commet ici-bas bien d'autres forfaitures

Je ne t'ai pas choisi et voilà qu'à présent

 

il me faut supporter tes grands airs méprisants.

Je ne veux rien savoir, je le sais c'est trop bête

Tiens! Voilà ton lolo et aussi tes croquettes!


 

chats35.gif

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 19:00

J'ai relevé le défi du concours d'écriture proposé par Bourgogne Magazine et bien m'en a pris puisque j'ai été élu premier des 3 lauréats et récompensé de diverses manières.

Alors en voici le thème inspiré d'un évènement survenu en Bourgogne en 2013, et ma lettre-mystère

 

clos-vougeot.jpg2013-09-228-clos-vougeot-035.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

chateau-gevrey-copie-1.jpg

  Château de Gevrey-Chambertin

 

 

 

Vous auriez pu lui envoyer un courriel mais, finalement, vous avez fait le choix de la lettre. Le caractère énigmatique de votre missive s’appuie sur une situation inattendue ou une nouvelle qui va bousculer la vie de votre destinataire. C’est aussi le point de départ d’une histoire à suspens(e). C’est inéluctable, le temps ne changera rien à l’affaire, le facteur et la boite aux lettres non plus…

 

 

 

Cher Monsieur Louis Chi-Sing,


Je ne sais par où commencer ni si je peux vous appeler Louis. Dans la région on dirait plutôt “le Louis” mais vous n'êtes pas encore tout à fait de chez nous et beaucoup vous appellent “le chinois”.

Moi, c'est le Claude et si je me permets de vous écrire alors que vous devez être bien embistrouillé à gérer tous vos casinos à Macao, c'est parce que je suis né à l'ombre de ce château qui est aujourd'hui le vôtre.

On vous dit amoureux de la Bourgogne et je le crois facilement. Il faut être beusenot pour ne pas en tomber amoureux et si on n'a pas la mer de Chine, nous on a un bareuzai qui pisse dru chaque année comme personne au monde!

Mais je ratasse au lieu d'en venir à l'essentiel c'est à dire à la Malédiction.


Vous pensez bien que depuis saint Odilon et quelques abbés de Cluny après lui, il s'en est passé des drôles au château, aussi il faut que vous sachiez toutes ces choses puisque à ct' heure vous en héritez avec les pierres.

J'ai appris la Malédiction au mois d'août 1957 puisque j'allais avoir dix ans dans trois mois et que l'Isabelle abandonnait le cancre que j'étais pour rentrer en CM2 à l'école du centre.

De toutes les ptiotes du village la seule qui m'ait donné le virot c'était l'Isabelle et je crois que c'était un petit peu pareil pour elle. Elle habitait rue Gaizot et moi rue de la Croix des Champs si vous voyez - mais je vois bien que vous ne voyez pas - alors disons qu'on habitait à vingt coups de pédale.


On trainaillait souvent autour du château pour l'angelus du soir en évitant Calamity Jane qu'on appelait la “doyenne” avec son oeil noir et sa fourgonnette pourrie, c'est comme ça qu'on a déniché la planque idéale sous le porche de la porterie où on posait nos biclous avant de refaire le monde.

Vous nous auriez vus là, l'Isabelle et moi, assis à croupetons dans l'ombre du pont dormant et des murs surchauffés à regarder le soleil se coucher tout en nous jetant des pignolôts dans le cou... bref, c'est en gravant nos initiales sur une grosse pierre du porche - celle qui dépasse un peu du mur et que vous trouverez facilement, Monsieur Louis - que la Malédiction s'est manifestée.


Je ne pensais pas à mal, juste envie de mélanger mon C à son I pour l'éternité dans le grès couleur de miel qui brille au couchant et qui d'après moi a donné son nom à la Côte d'Or, mais notre grosse pierre s'est soudain enfoncée dans le mur et le parchemin nous est apparu.

On l'a lu ensemble, surtout l'Isabelle car je grebillais trop mais elle s'est mise à trembler elle aussi. Je ne l'avais jamais vue trembler comme ça, même pas quand le Martenot nous pinçait à relever ses pièges à la Combe Lavaux.

Bref, ça causait d'un dénommé Hugues de Chalon, de Robert le Pieux et surtout de tous les malheurs qui s'abattraient sur les curieux qui oseraient chavirer cette pierre comme nous autres.


Vin diou! On n'a pas voulu ça et on n'a même pas pu lire jusqu'au bout car la nuit est tombée d'un coup, une nuit d'encre - comme aux fortes rabasses - avec un foutu coup de vent à décorner les cagouilles et tout a cessé dès qu'on a eu remis le parchemin en place.

Alors on a jarté et on n'en a plus jamais reparlé mais ça n'a pas empêché que l'Isabelle disparaisse sans raison quelques jours plus tard.


Si j'écris tout ça, c'est moins pour vous faire regretter votre investissement que pour vous avertir du danger si vous devez toucher au porche pour vos projets de rénovation.

Si vous allez au bout de ma lettre et que l'envie vous prend de pousser notre grosse pierre, ne rabeutez pas à chercher le parchemin puisque c'est moi qui l'ai repris après la disparition.

Je me dis qu'avec tout votre argent vous pourriez m'aider à vaincre la Malédiction et à retrouver l'Isabelle. Si comme moi vous avez déjà eu le virot pour une ptiote - d'après mes renseignements, il n'y a pas d'endroit au monde plus peuplé de ptiotes que Macao - vous comprendrez pourquoi je vous écris alors que vous devez être bien embistrouillé à gérer tous vos casinos, mais ça je l'ai déjà dit.

Quand vous reviendrez à Gevrey, demandez le Claude à la maison de retraite de Vigne Blanche, y en a qu'un ici.

 

 

embistrouillé : ennuyé

beusenot : idiot

bareuzai :Statue de Rude place du bareuzai

ratasser : radoter

virot : vertige

grebiller : trembler

rabasse : averse

cagouille : escargot

jarter : s'enfuir

rabeuter : fouiner




 

 









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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 07:00

  bricoleur.gif

 

Avec trois fois rien je fabrique n'importe quoi !


Déjà à l'école primaire avec un crayon, un taille-crayon et une poubelle, j'étais capable les yeux fermés de faire un tas de rognures de bois sous ma chaise. De même qu'avec mon bureau, un Opinel et une grosse envie de peloter Maryvonne, j'étais capable de graver pour l'éternité “Marre Yvonne cé toit que jème” !


En mai 68, il ne m'a fallu qu'une guitare, un carnet d'absences bien rempli et des copines délurées pour réussir haut la main mon redoublement en BTS.


Toute ma vie j'ai su que mon esprit inventif et débrouillard m'ouvrirait bien des portes... à ce propos je vous parie n'importe quoi qu'avec mon code à 3 chiffres (ou peut-être bien 4), les coordonnées GPS de ma banque et une petite demi-heure je leur rafle 300 euros au distributeur sans qu'ILS s'en rendent compte.

ILS, ce sont ceux qui avaient planqués les billets en toute confiance!


Chaque jour que Dieu fait je m'étonne de ce don hérité de mon oncle Hubert et qui fait de ma vie une aventure formidable.

C'est lui qui disait “Trois fois rien c'est mieux que pas grand chose”, lui qui avec son vélo de course, un plan du métro de Londres et quelques tickets restaurant avait déniché Anastazia au 'Polak assoiffé' rue Oberkampf dans le 11ème... mais tout ça je l'ai déjà raconté dans le défi#209.


Toute la nuit dernière avec une pomme d'arrosoir, un vieux morceau de pneu rechapé et un rouleau d'essuie-tout j'ai réussi à imiter le brame du cerf et même si les voisins n'ont guère apprécié je suis content et oncle Hubert - grand chasseur devant l'Eternel - aurait été fier de moi.


Aujourd'hui je me suis Oups... amusé à mééélanger du Oups... rhum, de la peau d'iguane râpée et de la menthe fraî...fraîche... Oups... c'était marrant, et d'ailleurs j'ai baptisé ça un Mot-rit-tôt.  





















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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 13:00

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré desExercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.

Pas sûr que j'écrive tous les jours... de toute manière, rien ne vous oblige à me lire tous les jours!



 

 

Aujourd'hui pour ligne d'horizon, j'ai plutôt une ligne de fuite.

Parait qu'un proverbe breton dit: “Horizon pas net, reste à la buvette”.

C'est pas faux.

Dans la perspective d'une journée à rebondissements, j'ai deux bons plans parallèles: boire un clos Vougeot et profiter du week-end.

J'ai jamais aimé le vendredi, jour du poisson et des arêtes comme je disais quand j'étais môme.

Même avec un bon Jasnières, les arêtes c'est toujours ma hantise.

Aujourd'hui pour seule ligne d'horizon, la Bourgogne, le salon Livres en Vignes au château... mais je peux pas en dire plus pour respecter la consigne à Queneau.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 13:00

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré desExercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.

Pas sûr que j'écrive tous les jours... et de toute manière, pas sûr que vous me lisiez tous les jours!

 

Avant toute chose j'avais promis de donner la solution à la définition en 9 lettres du mot croisé de Michel Laclos:     Relativement facile à rouler 

La réponse est: Cornichon

 

 

 

Aujourd'hui un meuble a des formes... à qui le dites-vous!

Aujourd'hui j'ai déménagé mon beau-frère Daniel, enfin pas mon beau-frère mais son mobilier aussi puis-je affirmer qu'un meuble aujourd'hui a des formes.

L'escalier en kit a une forme incertaine mais un certain poids.

La baignoire balnéo a une forme particulière c'est à dire particulièrement incompatible avec celle de la porte d'entrée.

Un Buffet de 1957 a la forme d'un tableau et peut finir au mur de la cuisine surtout s'il s'intitule “Nature morte au poulet” alors que la version Louis XV dit “Le Bien-Aimé” se met au salon! Etrange...

 

 








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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:00

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré desExercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.

Pas sûr que j'écrive tous les jours... et guère plus sûr que vous me lirez tous les jours!



 

 

Aujourd'hui où étiez-vous entre 13h et 13h05?

Que faisiez-vous? Vous aviez un alibi?

 

Facile puisque c'était aujourd'hui et qu'Alzheimer m'épargne comme je le disais encore... je ne sais plus quand.

Et bien j'étais au 9 chez Laclos.

Je m'explique puisqu'on me le demande: j'en étais au 9 vertical du mot croisé N°1390 de Michel Laclos.

Définition en 9 lettres: Relativement facile à rouler.

Je vous donnerai la réponse demain, peut-être.

Comment? Mon alibi? Demandez à ma tendre épouse, je fais toujours un bout de mots croisés à 13h après le repas, histoire de m'oxygéner les neurones et préparer ma digestion.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 23:05

Les 366 réels à prise rapide correspondent à un exercice d’écriture de Raymond Queneau tiré desExercices de Style. Il s’agit d’écrire chaque jour un texte sur un thème proposé sous la forme “Aujourd’hui [quelque chose]“. Les règles sont les suivantes : écrire sur le vif, ne pas écrire plus de 100 mots, rapporter des éléments réels de sa journée sans en inventer et sans se référer à un jour antérieur, suivre la thématique de la date correspondante.

Pas sûr que j'écrive tous les jours... et de toute manière, pas sûr que vous me lisiez tous les jours!

 

 


Aujourd'hui nouvelle connexion neuronale.

A l'heure où Alzheimer vide 260.000 cerveaux par an, me voici nanti d'une connexion supplémentaire, le synapse nouveau est arrivé... à moins qu'on ne dise une synapse! Un machin comme ça, ça doit être féminin.

Il a fallu que ça tombe sur moi.

 

Il parait que le nombre de connexions augmente à mesure qu'on apprend des choses, et comme je viens d'apprendre qu'aujourd'hui j'ai une nouvelle connexion neuronale, je sens d'ici venir l'effet boule de neige!

Rien que d'y penser, j'ai le lobe occipital qui enfle.

Je l'entends déjà me seriner: “Vous avez un nouveau message”.

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